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#20 Confessions Urbaines

 Adaptation audio complète disponible ici.

Adaptation vidéo (première partie) disponible ici.

Je cherche un panneau « réglementer », un vous êtes ici pour pouvoir enfin t’y déposer.

Car à l’intérieur de la cité se consume, le cœur d’un royaume né des brumes ;

Tout ce que l’enceinte millénaire contient n’est que conception du conscient, le tien.

Ce qui consomme ton flot et te pousse à le confier à cette conscience sublimée qu’est le flot de la cité.

Chaque mot est un empire fait de confiance entre les artères construites dans tous les sens.

Regarde Dijon, laisse la te confier son âme ! Sors de ton confessionnal et confie-lui ton slam !

*jam*

Il n’y a rien que tu puisses faire et rien que tu puisses dire ;

La confiance vient de l’air que tu respires ?

Car ici pas de Bible, de Coran, de verset ou de sourate mais les possibles le néant l’ivraie et Hippocrate

Qui te guident par la bride vers le vide limpide de ton esprit

Sublimé par tous ces slogans fratricides qu’on crache sur les radios libres !

Laisse la cité, laisse-la te transporter
Laisse la cité, laisse-la t’illuminer
Laisse la cité, laisse-la t’envenimer
Laisse la cité, laisse-la t’apprivoiser
Laisse la cité, laisse-la se confier
Laisse la cité, laisse-la t’humaniser
Laisse la cité, laisse-la t’englober
Laisse la cité, laisse-la se confier

Regarde Dijon, laisse la te confier son âme ! Sors de ton confessionnal et confie-lui ton slam !


Cherchons un panneau « réglementer », un je suis ici pour enfin pouvoir déclamer.

Je tripe, je flippe ma ville en backsides sur des tricks qui me conduisent droit au Styx.

Je suis le passeur de l’Achéron, Izambard à la barre pour un dernier marathon.

Petit bloss ira loin, petit boloss choppe le parpaing.

Je ne suis qu’un point dans votre nuée de tocards, qu’un « i » sans barre qui porte l’estocade jusqu’à à Tolède.

*jam*

Comme un rêve oublié sur la cime d’un frêne je chante ma trêve et lâche les rênes.

Dijon-Paris tu vois mon frère, seul change le tapis pas la prière.

Dijon-Paris tu vois mon frère, seul change le tapis pas la prière.

Dijon-Paris tu vois mon frère, seul change le tapis pas la prière.

Laisse la cité, laisse-la te transporter
Laisse la cité, laisse-la t’illuminer
Laisse la cité, laisse-la t’envenimer
Laisse la cité, laisse-la t’apprivoiser
Laisse la cité, laisse-la se confier
Laisse la cité, laisse-la t’humaniser
Laisse la cité, laisse-la t’englober
Laisse la cité, laisse-la se confier

Regarde Dijon, laisse la te confier son âme ! Sors de ton confessionnal et confie-lui ton slam !

À propos de Vil Faquin

Vous connaissez la Faquinade ? Non ? Baltringues.

3 réponses à “#20 Confessions Urbaines

  1. Tu devrais vraiment recommencer les audios, ils sont top ! J’aime beaucoup la vidéo aussi, mais tu le sais déjà. Je crois.
    Et le texte (le plus important !) est vraiment agréable à lire. On sent pas du tout ton amour pour ladite ville, cela dit. 😉

    Aimé par 1 personne

    • Tout à fait, j’aime cette ville et elle me manque cela dit. J’aimerais bien reprendre les audios, mais je n’ai plus d’accès à du matos d’enregistrement ni mon pote compositeur…

      Bref pour le reste, en tout cas merci 🙂 et hésite pas à faire connaître, j’aimerais avoir des retours t’sais !

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  2. Pingback: #46 Confession | L'orbe du Bouclier

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